

La légende veut que lors d’une terrible tempête, un bateau s’y est brisé et que tous ont péri sauf une jeune fille qui n’avait plus aucun souvenir de qui elle était, d’où elle venait ni où elle allait.

L’autre explication (moins romantique toutefois) est que cette anse se trouve dans Magaret’s Bay et que Peggy est le diminutif de Margaret…

Le paysage est pittoresque, le phare est magnifique; on comprend pourquoi de gros autobus de touristes ainsi que des bateaux en provenance d’Halifax y arrivent à intervalles réguliers, plusieurs fois par jour…
Il faut essayer de prendre nos photos avec le moins de touristes dedans, voilà le défi ! Mais comme nous sommes encore en basse saison (j’ose pas imaginer comment c’est l’été !), c’est pas si pire, nous avons pu nous asseoir sur les gros blocs de granit et regarder les vagues se briser sur les rochers. Lors de notre petite visite guidée, Loïc a pu apprendre le fonctionnement des cages à homards et goûter à de la crème glacée exclusive à Peggy’s Cove.

En passant saviez-vous que les gens de la Nouvelle-Écosse qui parlent français, utilisent des expressions de vieux français,

Martin, do you still have family in the area ? I hope that the pictures of the village don’t give you too much of nostalgia…
Nous avons également fait un arrêt au mémorial de l’écrasement du vol 111 de la Swissair qui s’est écrasé au large de Peggy’s Cove le 2 septembre 1998, tuant 229 personnes (je m’en souviens très bien, ça faisait seulement trois jours que j’avais commencé à travailler au LSJML)...


Ajout d'un montage-photos:
Aucun commentaire:
Publier un commentaire